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Objets de collection

Les ventes aux enchères en ligne d’objets de collection permettent d’assouvir toutes ses envies, des flacons de parfums aux instruments de musique, des appareils photos, caméras et téléviseurs aux stylos, porte-plumes et encriers.
« Le seul moyen de se délivrer d'une tentation, c'est d'y céder », écrivait Oscar Wilde. Dans ces ventes aux enchères d’objets de collection, les pipes, briquets, caves à cigares, tabatières et pots à tabacs sont des objets très prisés, comme également les cartes postales ou les vinyles. Les nécessaires fumeur y font un tabac. Les placoemaillophiles, collectionneurs de plaques émaillées, y trouveront leur bonheur. Les timbrés de philatélie y dénicheront de rares timbres de collection, et les amateurs de taxidermie des animaux naturalisés. Sur le tapis rouge de l’Hôtel Drouot, on assiste à un véritable festival de Cannes -qu’elles soient à pommeau ou à système-, à un défilé d’élégance automobile où se succèdent voitures, véhicules hippomobiles, et même avions, bateaux et motos !Les ventes aux enchères d’objets de collection englobent les objets de curiosité, ces « choses rares, nouvelles, singulières » selon le Littré, qui comprennent notamment les scientifica les instruments scientifiques. A Drouot, la curiosité n’est pas qu’un vilain défaut.
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Lots recommandés

1962 Ferrari 250 GT Berlinetta SWB No reserve Titre de circulation suédois Châssis n° 3169 GT Moteur n° 3169 GT (numéro interne 1006 E) • Exposée au Salon de New York 1962 sur le stand Pininfarina • Certification Ferrari Classiche • Coloris, moteur, transmission et carrosserie d'origine • Restauration de haute qualité par Quality Cars • Couleur originale unique pour un SWB "Blu Tigullio" • Sans réserve Cette berlinette Ferrari 250 GT châssis court est une version "Lusso" (luxe) produite au cours de l'année 1962. La commande est passée le 27 octobre 1961 par l'importateur Ferrari aux États-Unis, Luigi Chinetti, pour son client M. Norman Blank qui demeure à Pasadena, dans les faubourgs de Los Angeles. Celui-ci demande une teinte spécifique, "Blu Tigullio" (code 16639), agrémentée d'une sellerie en cuir Connolly rouge, code VM 3171, et de sièges standard "California". Une fois terminée, la voiture est envoyée chez Chinetti pour être d'abord exposée sur le stand Pininfarina du New York International Auto Show, du 21 au 29 avril 1962. A l'issue du Salon, pour une raison inconnue, M. Norman Blank ne prend pas livraison de la Ferrari qui est vendue à un autre acheteur, le Dr Anderson, de Jacksonville en Floride, qui est tombé sous le charme lors de l'exposition. Toutefois, considérant que la peinture n'est pas à la hauteur de ses exigences, il la fait repeindre et la garde jusqu'en 1979. Quand il la cède à M. Walter Hawkins Jr, demeurant lui aussi à Jacksonville, le compteur affiche près de 100 000 miles (160 000 km). M. Hawkins l'immatricule FL 32201 et la fait repeindre en rouge avant de s'en séparer au profit d'un M. Harald Javetz, de Savannah, en Géorgie (USA). La peinture est à nouveau refaite, toujours en rouge, et le moteur est restauré avant que la voiture ne soit cédée en 1987 à un négociant automobile, Ron Spangler, de Prancing Horse Farm dans le Maryland. A cette époque, le compteur affiche 30 000 miles (48 000 km), ce que le propriétaire explique par une remise à zéro lors du passage du chiffre 100 000, ou après la réfection du moteur. Cette berlinette Ferrari reste chez Prancing Horse Farm jusqu'en 1989/1990, quand elle est achetée par le grand collectionneur suisse Peter Heuberger qui l'importe dans son pays. Il la confie à Oldtimer Reparatur, à Toffen, où elle bénéficie d'une remise en état complète (mécanique, transmission, châssis, système électrique et carrosserie), avec des spécifications semi "competizione" et une rampe de six carburateurs Weber 38DCN. Des documents FIA sont également délivrés à cette époque. En 1993/1994 Peter Heuberger envoie la voiture à l'atelier Brandoli Egidio (à côté de Modène), réputé pour sa très bonne connaissance des Ferrari et l'excellence de son travail. Elle fait l'objet d'une nouvelle restauration, avec à nouveau une peinture rouge, et reçoit à cette occasion une sellerie beige et des sièges type compétition fournis par Luppi Ermanno & Romano, de Modène, entreprise connue pour la qualité de ses aménagements intérieurs. Parallèlement, le moteur et la boîte de vitesses sont refaits au Letzi Garage Robert Fehlmann, d'Altendorf, en Suisse. Entre les mains de Peter Heuberger, cette voiture prend part à divers évènements comme le Grand Prix de Montreux, le Tour de France Automobile ou le "50 Anni Ferrari" qui célèbre en 1997 les 50 ans de la marque, à Maranello. En 1998/1999 il cède la voiture au collectionneur suisse bien connu Carlo Vögele, qui la fait immatriculer en Angleterre sous le numéro HSL 685. Il ne la garde que peu de temps et la vend à un autre amateur suisse, Engelbert Stieger, qui à son tour la cède en mars 2000 à M. Klaus Troche, basé à Lauf-an-der-Pegnitz, près de Nuremberg (Allemagne). Il la fait immatriculer LAU-KT 2H et engage des dépenses considérables pour rendre à la voiture sa configuration d'origine et ainsi respecter ses spécifications particulièrement uniques, comme en témoigne un épais dossier de factures des entreprises intervenues dans cette restauration. En 2019, à l’occasion d’une sortie touristique, il est victime d'un accident dû à une attaque cardiaque. Il succombe quelques jours plus tard à l'hôpital et son fils Franck Troche hérite de la Ferrari, endommagée à l'avant. Il l'envoie près de Padoue, en Italie, chez Carrozzeria Quality Cars pour une remise en état complète dans sa combinaison de teintes d'origine et pour répondre aux exigences de Ferrari Classiche en matière d'authenticité. L'inspection permet de confirmer que cette voiture comporte encore ses principaux composants d'origine tels que moteur, transmission, châssis et carrosserie. C'est pendant les travaux chez Carrozzeria Quality Cars que l'actuel propriétaire en fait l'acquisition. A la suite de la restauration, elle est présentée, aux côtés de la California #1057 de la vente, au Concours d’Elegance Cavallino Cla

Estim. 8 500 000 - 12 000 000 EUR

1963 Mercedes-Benz 300 SL roadster avec hard-top No reserve Titre de circulation suédois Châssis n° 198.042-10-003198 Moteur n° 198.982-10-000162 • Un des 210 derniers roadsters 300 SL produits • Rarissime version freins à disque, moteur aluminium • Moteur et couleur d’origine, historique limpide • 600 000 € de travaux chez HK-Engineering • Préservation de la sellerie d'origine • Sans réserve Comme de nombreux collectionneurs, Staffan Wittmark s'est fixé un certain nombre d'objectifs dans la quête qu’il menait pour réunir les voitures de son choix. Dans le cas de la Mercedes 300 SL roadster, il a souhaité trouver deux exemplaires ayant été produits aux deux dates extrêmes encadrant la fabrication : au tout début, quand le modèle était encore vierge de toute modification, et à la fin, quand il était parfaitement abouti après diverses améliorations. Ainsi, la 300 SL roadster présentée ici fait partie des 210 derniers exemplaires produits et, à ce titre, elle est équipée de freins à disque sur les quatre roues et d'un moteur à bloc en aluminium, plus léger. Elle dispose évidemment de toutes les autres particularités du roadster, comme sa suspension arrière améliorée à pivot unique et ressort compensateur, son injection directe, son châssis tubulaire sophistiqué et modifié par rapport au coupé pour en abaisser les seuils de porte... La 300 SL a été à l'origine conçue pour la compétition et sa technique en témoigne, même si Mercedes a réussi une combinaison de sport et de confort rarement égalée, puisque la finition du roadster était du niveau des voitures les plus luxueuses du monde. La voiture de la vente a été livrée neuve en Angleterre où elle a reçu sa première immatriculation le 24 mai 1963. Elle était de couleur gris graphite "DB 190" avec sellerie en cuir rouge n°1079 et capote noire (option 720). Selon le "Gullwing Group Roadster Register", elle n'a connu que deux propriétaires en Angleterre, en 1963 et 1969. En 1976, cette voiture a été achetée à M. Friedhelm Merznich, demeurant à Majorque, par un de ses amis, le Dr Alexander Bell, de Cologne en Allemagne. Ce dernier a gardé la voiture 41 ans et ne l'a utilisée qu'avec parcimonie et, quand il l’a cédée, elle n'affichait que 56 000 miles confirmés par un carnet d'utilisation et un autocollant "Lichttest 1985" sur le pare-brise. Il convient de noter que les numéros de châssis, de moteur, de carrosserie, de transmission et d'essieux avant et arrière correspondent à ceux notifiés dans les documents d'usine, ce qui souligne l'historique sans nuage de cette 300 SL. Entre 2021 et 2023, cette voiture a fait l'objet d'une restauration complète au sein des ateliers du spécialiste allemand du modèle, HK-Engineering, dont l'expérience a permis de réaliser des travaux d'une qualité très élevée tout en respectant l'intégrité d'origine de la voiture. Par exemple, la sellerie en cuir rouge d'origine a été démontée, nettoyée, traitée et remontée pour ne pas perdre la patine qui en faisait le charme. La carrosserie a été déposée, restaurée et repeinte dans son beau gris d'origine, et le châssis a également fait l'objet d'une réfection complète. La mécanique dans son ensemble a elle aussi bénéficié d'un traitement de haut niveau : moteur, transmission, pont arrière, système d'injection et d'alimentation, système de refroidissement, freins ont été remis en état... Des photos de la restauration sont là pour témoigner de l'ampleur et du soin exceptionnel des travaux, qui ont totalisé plus de 600 000 euros et un livre rédigé par l’historien bien connu Jonathan Sierakowski revient même sur l’histoire complète de cette voiture et la restauration qui a été menée. Il en résulte une des plus belles Mercedes 300 SL roadster du marché, d'autant plus qu'elle est équipée du rare hard-top spécifique à ce modèle. En plus de ses outils et de son cric, elle est dotée d'un jeu de bagages sur mesure qui prennent place dans le coffre arrière. Avec son historique sans ombre, ses composants d'origine et sa restauration exemplaire, cette 300 SL roadster dotée de tous les raffinements du modèle saura séduire les amateurs attachés aux voitures de qualité exceptionnelle. Swedish title Chassis no. 198.042-10-003198 Engine no. 198.982-10-000162 • One of the last 210 300 SL roadsters built • Extremely rare version with disc brakes and aluminium engine block • Original engine and colour, clear history • 600,000 € spent on work at HK-Engineering • Original upholstery preserved • No reserve Like many collectors, Staffan Wittmark set himself a certain number of goals in his quest to bring together his chosen cars. In the case of the Mercedes 300 SL roadster, he wanted to find two examples from opposite ends of the period during which it was built: from the very beginning, when no changes h

Estim. 2 400 000 - 2 900 000 EUR

1957 Mercedes-Benz 300 SL roadster No reserve Titre de circulation suédois Châssis n° 198.042 7500119 Moteur n° 198.980 7500135 • La 51ème 300 SL roadster construite • Palmarès en course avec son premier propriétaire Gunther Philipp • Améliorations d'époque faites à l’usine, jantes Rudge à fixation centrale • Restauration de haut niveau par un des meilleurs spécialistes • Historique exceptionnellement documenté • Sans reserve Une des particularités de cette voiture est d'avoir été livrée neuve à un acteur autrichien célèbre, Gunter Placheta, dont le nom de scène était Gunther Philipp. Sportif accompli, champion de natation (il détenait le record autrichien du 100 mètres brasse), il commence par étudier la philosophie, la psychologie et la médecine avant d'ouvrir un cabinet à Eberstazell. Passionné de théâtre, il crée en 1946 avec trois amis une troupe de cabaret, "Die kleinen Vier" et, en 1949, décide d'abandonner son activité de médecin pour se consacrer entièrement à son métier d'acteur. Sa filmographie compte plusieurs dizaines de films et séries populaires, des années 1950 à 2000. Mais Gunther Philipp est un homme aux multiples passions et le sport automobile en fait également partie. Au début des années 50, il crée son équipe de course sous le nom "Ecurie Vienne" et remporte même le Championnat d'Autriche GT dans les années 60. Puis, après avoir raccroché son casque, il animera avec Jochen Rindt l'émission Motorama, sur la station ORF. C'est dans ce contexte enthousiaste qu'il fait l'acquisition de cette Mercedes 300 SL roadster qui lui est livrée le 25 juillet 1957 avec un kilométrage de 3 735 km, et qui est immatriculée à Berlin via Herbert Schulze Automobile, sous le numéro B-PP 99. Selon les indications fournies par Éric Lemoine, spécialiste reconnu du modèle, plusieurs courriers échangés avec l'usine témoignent de nombreuses améliorations apportées à cette voiture, à la demande de son propriétaire particulièrement connaisseur et exigeant. Ainsi, une lettre datée du 14 août 1957 et adressée à Mercedes Munich mentionne de façon très directe plusieurs défauts auxquels Gunther Philipp souhaite qu'un remède soit apporté au plus vite. Il déplore un manque de puissance du moteur et suspecte que le rapport de pont n'est pas celui qu'il a commandé. Il précise également que "les freins sont dangereux sur revêtement mouillé", que "l'embrayage broute et présente une course trop courte". Par ailleurs, il se plaint "que la carrosserie vibre trop, en particulier autour des portes, et que des fissures au niveau du coffre doivent être réparées et repeintes, ce qui imposera de repeindre entièrement la voiture." Enfin, il commande des jantes Rudge à fixation centrale. Ces courriers ne restent pas sans suite ; des améliorations sont en effet apportées au système de freinage et un courrier de Mercedes Munich du 6 septembre 1957 confirme la pose des jantes Rudge chromées (quatre plus une roue de secours). Mercedes n'ayant pas usage des roues d'origine, elles sont laissées à Gunther Philipp. Par ailleurs, un courrier atteste du remplacement probable du moteur d'origine, sans doute courant août 1957, ce qui pourrait expliquer la raison pour laquelle le numéro du moteur équipant la voiture a été refrappé. Sur une commande de travaux datée du 21 août 1957, Gunther Philipp demande le prix d'arbres à cames sport, mais il n'est pas précisé si ceux-ci seront finalement montés. Le 11 mai 1959, la voiture est repeinte de couleur blanche (code DB 50) : elle affiche alors 40 345 km et porte encore son immatriculation berlinoise. Un peu plus tard, un pont arrière plus court (1 : 3,64) est posé en préparation d'une épreuve de course prévue le 30 septembre 1959. Entre ses engagements d'acteur, Gunther Philipp prend part à diverses épreuves régionales, comme en attestent en particulier plusieurs photos jointes à la documentation et qui ont été prises lors des courses suivantes : - 23-24 mai 1959, Internationale Semperit-Rallye (résultat non connu). - 4 octobre 1959, Internationales Autorennen Innsbruck (abandon). - 12 juin 1960, Internationales Autorennen Flugplatz Linz, cinquième au classement général et victoire en GT de plus de 1600. - 25 septembre 1960, Internationales Flugplatzrennen Klagenfurt (résultat non connu). En septembre 1960, Gunther Philipp adopte le pseudonyme "Constantine", quand il s'inscrit avec sa 300 SL roadster à la course de côte du Gaisberg, épreuve comptant pour le Championnat d'Europe de la Montagne. On le retrouve d'ailleurs quatre ans plus tard, en 1964, au départ de cette même épreuve, mais sous son nom Placheta et au volant d'une Ferrari 250 GT berlinette châssis court. Après avoir fait bon usage de sa 300 SL, l'acteur et pilote amateur s'en sépare au début des années 1960. Jusqu'à 1962, elle est immatriculée au nom de Herbe

Estim. 900 000 - 1 200 000 EUR

1997 Ferrari 456 GTA No reserve Titre de circulation suédois Châssis n° ZFFWP50B000108646 Moteur n° 46062 • Historique et entretien suivi, carnet tamponné • 45 015 km, bel état • Rare livrée « Blu Swaters » • Sans réserve Grâce à l'entretien régulier et soigneux dont cette voiture a fait l'objet, elle est aujourd'hui dans un état rare pour ce modèle. Vendue neuve en octobre 1997 par le Garage Foitek, de Zurich en Suisse, elle a été entretenue plusieurs années par son intermédiaire, puis par le Sportgarage Leirer, jusqu'à ce qu'elle change de pays pour rejoindre la Hollande en 2016. Elle a alors été prise en main par le spécialiste Forza Service, avant de passer en 2021 en Allemagne, puis en Suède où elle a été achetée en 2022 par Staffan Wittmark. Le dernier tampon apposé sur le carnet d'entretien date du 15 novembre 2023 avec des travaux effectués par Autoropa, spécialiste Ferrari-Maserati de Stockholm. La voiture affichait alors 45 015 km et n'a pratiquement pas roulé depuis. Elle se présente aujourd'hui avec une carrosserie et une peinture impeccables, dans la teinte "Blu Swaters" considérée par son propriétaire comme celle qui convient le mieux à ce modèle. Le coffre contient la trousse à outils Ferrari qui ne semble avoir jamais été utilisée. A l'intérieur, les sièges en cuir beige clair sont à peine patinés et l'équipement de bord est superbe, même si la console centrale est légèrement gondolée, faiblesse classique de ce modèle. Cette voiture est accompagnée de tous ses documents, carnets d'utilisation et d'entretien d'origine dans sa pochette en cuir, ainsi que de nombreuses factures d'entretien. Avec son historique suivi, son kilométrage raisonnable et son état superbe, elle fait honneur aux qualités exceptionnelles de cette magnifique grande routière qui atteignait 300 km/h et marquait dans les années 90 le retour de Ferrari dans la catégorie des brillantes GT 2+2 à moteur V12 à l'avant. Swedish title Chassis no. ZFFWP50B000108646 Engine no. 46062 • History and regular maintenance, stamped-up service book • 45,015km, in fine condition • Rare ‘Blu Swaters’ colour • No reserve Thanks to the regular and careful maintenance which this car has received, it is presently in unusually good condition for the model. Sold new in October 1997 by the Garage Foitek at Zurich, in Switzerland, it was serviced by them for several years, and then by the Sportgarage Leirer, before it changed countries and moved to Holland in 2016. It was then taken in hand by the specialist Forza Service, before going to Germany in 2021, and then to Sweden, where it was bought by Staffan Wittmark in 2022. The last stamp in its service book is dated 15 November 2023, when work was carried out by Autoropa, a Ferrari and Maserati specialist in Stockholm. At the time, the car had 45,015km on the clock; it has hardly been driven since. It presents today with immaculate bodywork and paint, in the shade of ‘Blu Swaters’ which its owner considers best suited to the model. The Ferrari tool kit can be found in the boot and appears never to have been used. Inside, the beige leather seats are hardly worn and the interior equipment is superb, even though the centre console is slightly warped, a traditional weak spot on this model. The car comes with all its documents, manuals and original service book in their leather wallet, as well as numerous service bills. With its well-documented history, reasonable mileage and superb condition, it lives up to the exceptional qualities of this magnificent grand tourer, which could reach 300kph and marked Ferrari's return in the 1990s to the category of brilliant 2+2 GTs with a V12 engine in the front.

Estim. 45 000 - 65 000 EUR

1965 Ferrari 275 GTS Hard-top No reserve Titre de circulation suédois Châssis n° 06807 Moteur n° 06807 • Certifiée par Ferrari Classiche • Restauration complète de haute qualité par Cremonini, Toni Auto, Brandoli, Maieli • Importante documentation historique • Equipée d’un hard-top comme à sa sortie d’usine • Sans réserve Alors que le Spyder 250 GT California disparaît du catalogue Ferrari en 1963, il faut attendre deux ans pour que le constructeur propose à nouveau un cabriolet au sein de sa gamme. Au Salon de Paris 1964, les visiteurs découvrent deux remarquables nouveautés : la 275 GTB et son alter ego découvrable, la 275 GTS. Si la première présente un dessin très sportif qui n'est pas sans rappeler la 250 GTO, la seconde affiche une allure plus sobre et mesurée, mais d'une extrême élégance et qui sera reprise sur les séries suivantes des 330 et 365 GTC/GTS. Pour confirmer cette différence de personnalité, la 275 GTB est produite chez Scaglietti, à Modène, et la 275 GTS dans l'usine Pininfarina, à Turin, où elle reçoit aussi ses accessoires et sa sellerie. Le montage de la mécanique est ensuite effectué chez Ferrari. Les deux modèles partagent la même base mécanique, modernisée par rapport à leurs devancières, avec une nouvelle suspension indépendante et une transmission par boîte-pont, ce qui permet une meilleure répartition des masses. Le moteur reste le V12 à un ACT par banc conçu par Gioacchino Colombo et dont la cylindrée passe à 3,3L. Alimenté par trois carburateurs Weber double corps, il délivre 280 ch sur la 275 GTB et 260 ch sur la 275 GTS, ce qui confirme le caractère moins extrême du Spyder. Il n'en reste pas moins un des cabriolets les plus rapides de son époque, la capote baissée permettant de profiter pleinement du voluptueux grondement des 12 cylindres lancés à plein régime. Cette Ferrari 275 GTS fait partie des tous premiers exemplaires puisqu'il s'agit du septième produit, sur les 200 sortis des ateliers Ferrari de 1964 à 1966. Livrée à l'importateur Ferrari à New York Luigi Chinetti, elle est alors de couleur jaune avec sellerie en cuir noir et, détail rare, elle est équipée d'un hard-top comme c’est encore le cas aujourd’hui. Entre 1965 et 1989, elle connaît plusieurs propriétaires américains. En 1989, elle est achetée par Alexander S. Andreadis, de nationalité grecque mais résident à Londres, où il fait venir la voiture et l'immatricule NME 75C. Il l'utilise pendant 25 ans avant de la céder en 2013 au marchand anglais bien connu Daniel Donovan, DD Classics, basé à Kew, dans le Surrey. Alors que cette entreprise commence une restauration de la voiture pour la vendre, elle est remarquée en octobre 2013 dans un atelier de sellerie près de Londres par un ami qui conseille l'actuel propriétaire. Il en effectue l'inspection et transmet les numéros de châssis, moteur et transmission à Ferrari Classiche, pour vérification. L'organisme italien confirme que ces composants sont bien ceux d'origine et, en novembre 2013, la voiture est achetée par Staffan Wittmark. Elle est alors envoyée chez Toni Auto, à Maranello en Italie, pour une restauration complète. Toni Auto se charge de tous les aspects mécaniques (moteur, transmission, suspension, freins, direction), la carrosserie étant transmise aux ateliers Brandoli, à Montale, dont le propriétaire a déjà pu expérimenter les talents sur d'autres de ses voitures. La peinture est réalisée par le spécialiste Cremonini, à Modène, la sellerie étant confiée à Interno Auto Maieli, à Mantoue, eux aussi réputés mondialement dans le domaine de la restauration de voitures anciennes et en particulier de Ferrari. Ainsi, au cours des années 2014 et 2015, la carrosserie ainsi que le hard-top sont mises à nu puis repeints de couleur gris "gunmetal" métallisé, les composants mécaniques démontés et refaits, et la sellerie restaurée en cuir Connolly rouge. Au cours de la restauration, le propriétaire et son représentant effectuent des visites régulières pour s'assurer du standard élevé des travaux, que leurs interlocuteurs mettent un point d'honneur à respecter. Dans cette teinte qui lui confère une grande élégance, cette Ferrari 275 GTS est aujourd'hui dans un état irréprochable et parfaitement conforme à ses spécifications mécaniques d'origine, accompagnée de son rare hard-top. Comme les autres voitures de la Collection W, elle est accompagnée d'un dossier historique important, de la certification Ferrari Classiche et d'un livre édité spécialement pour en évoquer l'histoire et la restauration. Swedish title Chassis no. 06807 Engine no. 06807 • Certified by Ferrari Classiche • Complete, high-quality restoration by Cremonini, Toni Auto, Brandoli and Maieli • Extensive history file • Equipped with a hardtop, as fitted when new • No reserve After Ferrari dropped the 25

Estim. 1 500 000 - 1 800 000 EUR

2014 Ferrari F12 Berlinetta No reserve Titre de circulation suédois Châssis n° ZFF74UHB000203243 • 2 629 km d'origine seulement ! • Achetée neuve par Staffan Wittmark • Options rares et recherchées • Superbe teinte "Grigio Silverstone" • Sans réserve Cette voiture dont l'état est proche du neuf n'affiche que 2 629 km d'origine ! Après l'avoir achetée neuve auprès de Autoropa, Staffan Wittmark l'a vendue en 2016 à un ami mais, regrettant son geste, il l'a reprise via un échange contre sa 550 Maranello. La dernière révision dont elle a fait l'objet a été effectuée en novembre 2022 chez Autoropa, spécialiste Ferrari-Maserati de Stockholm. Cette berlinette F12 bénéficie d'un équipement extrêmement complet, avec de nombreuses options : teinte "Grigio Silverstone", étriers de freins jaunes, ceintures de sécurité beiges assorties à la sellerie, sièges Daytona, badge Scuderia, barrettes de calandre chromées, compte-tours jaune, caméras avant et arrière, bas de caisse sport, régulateur de vitesse, écran passager, sièges entièrement électriques, système HiFi, habillage cuir sur les montants de pavillon, le tableau de bord et le coffre, rétroviseur anti-éblouissant électrique, matelassage diamant pour le ciel de toit et le compartiment à bagages, volant cuir, jantes 20 pouces forgées. Cette voiture est livrée avec ses carnets et sa housse d'origine. Remplaçante de la 599 GTB Fiorano, la Ferrari F12 poursuivait la lignée des berlinettes Ferrari à moteur V12 avant, dans la grande tradition des 275 GTB et Daytona. Son moteur 6,3L développait la puissance incroyable de 740 ch, ce qui permettait à ce bolide d'atteindre 340 km/h. Sa beauté radicale était au service de l'aérodynamique et Ferrari la présentait comme "le fer de lance de l'extrême". Avec son faible kilométrage et son état proche du neuf, l'exemplaire que nous présentons permettra à son nouveau propriétaire de pleinement profiter des performances hors du commun de cette machine d'exception. Incidence sur la TVA : Le véhicule ayant moins de 6000 km d’utilisation, il peut être considéré « comme neuf » dans certains pays de l’Union Européenne. Nous vous remercions de prendre contact avec votre administration fiscale pour avoir confirmation du statut dans le pays de destination. En cas d’adjudication à un acheteur résident en France, une TVA de 20% sera facturée sur l’adjudication et les frais. Swedish title Chassis no. ZFF74UHB000203243 • Only 2,629km from new! • Bought new by Staffan Wittmark • Rare and sought-after options • Magnificent ‘Grigio Silverstone’ colour • No reserve This car, which is in virtually new condition, has covered only 2629km from new! After buying it new from Autoropa, Staffan Wittmark sold the car in 2016 to a friend, but, regretting his decision, bought it back in exchange for his 550 Maranello. Its last service was carried out in November 2022 by Autoropa, a Ferrari and Maserati specialist in Stockholm. This F12 Berlinetta is extremely well equipped and has numerous options: ‘Grigio Silverstone’ paintwork, yellow brake callipers, beige seat belts to match the upholstery, Daytona seats, Scuderia Ferrari shields, chrome radiator grille slats, yellow rev counter, front and rear cameras, sports side skirts, cruise control, passenger screen, fully electric seats, hi-fi system, leather trimmed windscreen pillars, dashboard and boot, electric auto-dimming rear-view mirror, diamond-quilted padding for the headlining and boot, leather steering wheel and 20-inch forged wheels. The car will be supplied with its books and manuals, as well as its original fitted cover. The successor to the 599 GTB Fiorano, the Ferrari F12 continued the line of V12 front-engined Ferrari berlinettas, in the great tradition of the 275 GTB and the Daytona. Its 6.3-litre engine produced an incredible 740bhp, enabling it to reach 340kph. Its radical styling contributed to its aerodynamic efficiency and Ferrari presented the F12 as “A spearhead of extreme V12-cylinders”. With its low mileage and near-new condition, the example presented here will let its new owner enjoy to the full the extraordinary performance of this exceptional car. Impact on VAT: As the vehicle has been driven less than 6,000 kilometers, it can be considered “as new” for VAT purposes in certain European countries. Please contact your local tax authorities for confirmation prior to purchase. For a French buyer, a VAT of 20% will be charged on the hammer price and the premium.

Estim. 160 000 - 220 000 EUR

1969 Ferrari 330 GTC No reserve Titre de circulation suédois Châssis n° 10585 Moteur n° 10585 · Certifiée par Ferrari Classiche · Restauration complète de haute qualité par Cremonini, Toni Auto, RBBC, Maieli · Elégance, confort et performances élevée · Combinaison de couleur sublime · Sans réserve Selon une démarche peu habituelle pour Ferrari, le coupé 330 GTC est issu d'une version cabriolet, la 275 GTS. Née en 1964 comme version découvrable de la 275 GTB, celle-ci affichait une ligne complètement différente de celle de la berlinette, qui correspondait à une personnalité plus mesurée, sobre et confortable. C'est cet état d'esprit que reprend le coupé 330 GTC présenté au Salon de Genève 1966, avec un dessin identique à celui de la 275 GTS, à l'exception du pavillon et de l'avant, plus effilé et qui n'est pas sans rappeler la Superamerica. Cette ligne remarquablement équilibrée est signée Pininfarina, qui assure dans sa propre usine la production de la voiture, la mécanique et l'assemblage final étant pris en charge par Ferrari. Ce coupé s'appuie sur une architecture mécanique proche de celle de la 275 GTB (qui reste parallèlement au catalogue), avec un moteur V12 de 4 L développant 300 ch et une boîte-pont reliée au moteur par un tube de poussée. Ainsi en 1967, la gamme Ferrari est très complète et comporte la berlinette 275 GTB, le coupé et le cabriolet 330 GTC/GTS, et le coupé 330 GT 2+2 plus volumineux. En tout, la production de 330 GTC s'est limitée à moins de 600 exemplaires, ce qui en fait un modèle rare. La Ferrari 330 GTC que nous présentons a été livrée neuve en novembre 1967 à Modern Classic Motor, à Reno, concession appartenant à Bill Harrah, bien connu pour sa considérable collection d'automobiles comportant entre autres une Bugatti Royale. Cette voiture est alors de couleur "Rosso Cina" (code 95C9614S), avec un intérieur en cuir noir (code NR2). Les premiers propriétaires ne sont pas connus mais, entre 1983 et 1985, cette Ferrari appartient à Robert et Cynthia Carlin, de Glendale, en Californie où elle va rester jusqu'en 2013. En 1985 elle est achetée par William Inglis, de Woodland Hills qui la garde presque 20 ans et la présente notamment en 2001 au Concorso Italiano de Monterey à une époque où elle porte l'immatriculation GYK 141. En 2004, William Inglis la cède à Steven M. Foster, de Laguna Niguel, qui l'utilise jusqu'à 2013, date à laquelle elle est achetée par Staffan Wittmark. Celui-ci, responsable du design dans une société internationale, est très sensible aux aspects esthétiques de ses voitures et la présentation de cette 330 GTC n'est pas à la hauteur de ses exigences. Il décide donc de l'envoyer en Italie, chez Toni Auto à Maranello, pour une restauration complète. Toni Auto, maître d'œuvre de toute l'opération, dépose toute la mécanique et envoie la coque à l'atelier RBBC pour un décapage complet. L'ensemble se montre en bon état de préservation et RBBC n'a besoin d'effectuer que de menues rectifications avant que la coque ne soit ensuite confiée à la Carrozzeria Cremonini, à Lesignana près de Modène, où elle reçoit les différentes couches d'apprêt et de peinture soigneusement lustrée à la main. La teinte choisie et "Blu Notte Metallizzato" (code M18943), un bleu profond métallisé qui souligne la ligne élégante de ce beau coupé et qui rappelle aussi la teinte de sa Ferrari 330 GTS. Parallèlement, le châssis et les parties internes de la carrosserie reçoivent une peinture noir satiné, pendant que tous les enjoliveurs chromés ou en aluminium bénéficient d'un traitement qui leur rend leur superbe d'origine. De son côté, Toni Auto démonte entièrement le moteur et la transmission pour les refaire, de même que tous les composants tels que suspensions, freins, direction et système électrique. Une fois remontée, la voiture est envoyée chez Interni Auto Maieli, de Candole di Roverbella, pour tout l'aménagement intérieur. Il est entièrement refait avec du cuir Connolly Vaumol rouge (une teinte d'époque, code VM 3171), la moquette étant bleu foncé. Enfin, cette Ferrari 330 GTC revient chez Toni Auto où sont effectuées les dernières vérifications et mises au point, pour que la voiture réponde aux attentes du propriétaire et soit parfaitement conforme aux spécifications d'origine. Elle repose sur des jantes Borrani RW 4039 à rayons chromés (disponibles en option). Dotée de toute sa mécanique d'origine, elle a reçu la certification Ferrari Classiche et, en plus d'un dossier historique complet, a fait l'objet d'un livre édité spécialement pour présenter en détail et en photo son histoire et sa restauration. En montant à bord de cette voiture, son nouveau propriétaire pourra facilement imaginer qu'il prend livraison d'un modèle neuf à l'usine de Maranello, avant de prendre la route pour traverser le continent dans l'harmonieux

Estim. 600 000 - 800 000 EUR

2003 Ferrari 575 M Maranello F1 No reserve Titre de circulation suédois Châssis n° ZFFBT55B000130954 Moteur n° 71984 • Entretien suivi, moins de 35 700 km d’origine • Superbe état d'origine • Mécanique d'origine, carnet d’entretien tamponné • Sans réserve Comme l'indique son carnet d'entretien, cette voiture a été vendue neuve en mai 2003 par l'intermédiaire de Tamsen GmbH, de Stuhr en Allemagne, à une société domiciliée à Unterschleissheim, à côté de Munich. Elle a été ensuite entretenue par Ferrari Stuttgart jusqu'en 2007, année à laquelle elle a été exportée en Suède. A partir de là, l'entretien a été pris en charge par Autoropa, spécialiste Ferrari officiel, et les tampons apposés sur le carnet témoignent de révisions régulières accompagnant l'augmentation très progressive du kilométrage, la dernière ayant eu lieu le 1er novembre 2023 à 35 626 km, après quoi la voiture a été livrée par camion à notre Staffan Wittmark. Grâce à cet entretien attentif, cette Ferrari 575 M Maranello est aujourd'hui dans un état d'origine extrêmement bien préservé. Les alignements de carrosserie sont conformes aux exigences du constructeur et la peinture Rosso Corsa (code 322 DS) ne présente pas de défaut. Il est d'ailleurs possible que la face avant ait été repeinte car elle ne porte aucune trace de gravillon. Les jantes sont en très bon état et l'habitacle, avec ses sièges en cuir noir, ne montre que de subtiles traces d'usage. Cette voiture est livrée avec sa pochette contenant ses carnets d'utilisation et d'entretien, en plus d'un dossier de factures correspondant aux travaux d'entretien, sans oublier la housse Ferrari, la trousse à outils et le kit de crevaison placés dans le coffre. Utilisée avec parcimonie et entretenue avec soin tout au long de son existence, cette 575 M Maranello permettra à son nouveau propriétaire de profiter pleinement des brillantes performances de son V12 de plus de 500 ch, dans cette splendide configuration classique à moteur avant. Swedish title Chassis no. ZFFBT55B000130954 Engine no. 71984 • Regularly maintained, less than 35,700km from new • Superb original condition • Original engine, stamped-up service book • No reserve As its service book indicates, this car was sold new in May 2003 through Tamsen GmbH in Stuhr, in Germany, to a company based at Unterschleissheim, near Munich. It was subsequently maintained by Ferrari Stuttgart until 2007, when it was exported to Sweden. From then on, the car was maintained by Autoropa, an official Ferrari specialist, and the stamps in its service book show regular services as its mileage increased very gradually; the last of these was carried out on 1 November 2023 at 35,626km, after which the car was delivered by truck to our client, Staffan Wittmark. Thanks to this careful maintenance, the Ferrari 575 M Maranello is today in extremely well-preserved original condition. The alignment of the body panels meets the manufacturer’s standards and the Rosso Corsa paintwork (code 322 DS) has no defects. It is possible, moreover, that the front of the car has been resprayed as it is completely free from any stone chips. The wheels are in very good condition, while the interior, with its black leather seats, shows only the slightest signs of wear. The car will be supplied with its document wallet containing its service book and manuals, as well as a file of invoices for the service work carried out, not forgetting its fitted Ferrari car cover, tool kit and puncture repair kit stored in the boot. Sparingly used and carefully maintained throughout its existence, this 575 M Maranello will allow its new owner to enjoy to the full the sparkling performance of its V12 (producing more than 500bhp), in this splendid and traditional front-engined layout.

Estim. 80 000 - 120 000 EUR

1989 Porsche 964 Carrera 4 toit ouvrant No reserve Titre de circulation suédois Châssis n°WP0ZZZ96ZKS401212 • Très bel état d'origine, options très recherchées • Séduisant thème de couleurs, rouge indien et cuir beige • Carnets, entretien suivi • Moins de 65 000 km d’origine • Sans réserve Pour Staffan Wittmark, le rouge "Indischrot" est la couleur qui met le mieux en valeur la Porsche 964 et c’était l’une des couleurs de lancement. C’est la raison pour laquelle la collection en comporte deux, dont cette Carrera 4 en superbe état qui fait partie des premiers modèles de 964 avec ses rétroviseurs et jantes caractéristiques. En plus d'une carrosserie sans reproche et d'une peinture qui présente un beau brillant (probablement refaite sous la forme d'un voile), cette voiture bénéficie d'un équipement extrêmement complet : toit ouvrant, sièges électriques chauffants, support lombaire électrique côté conducteur, régulateur de vitesse, climatisation (modernisée avec du gaz R134A). Les vérins de capot arrière sont faibles mais le compartiment avant est superbe d'origine, avec sa trousse à outils. L'intérieur est tout aussi séduisant avec un riche cuir beige "étendu" couvrant les sièges, la console centrale et les panneaux de portes, une moquette beige assortie et un autoradio Blaupunkt. Vendue neuve en Suède en juin 1989, cette voiture n'a connu que quatre propriétaires depuis l'origine et n'a cessée d'être entretenue par Porsche comme en témoigne son carnet d'entretien dument tamponné. C'est en 2017 qu'elle a rejoint la collection W et, depuis, elle n'a parcouru que 100 km, affichant aujourd'hui 64 432 km d'origine. Elle a fait l'objet d’une révision en 2020 par Porsche Haninge. En 2023, les ateliers SRO au Castellet ont revu l’étanchéité du circuit d’huile et changé plusieurs durites, et aussi révisé l’allumage en remplaçant le faisceau complet et en changeant une tête d’allumeur (facture de 3 200 €). Cette superbe 964 est livrée avec ses manuels, de nombreuses factures et rapports de contrôle technique, ainsi que son double de clés. Elle présente l'excellente opportunité d'acquérir une Carrera 4 dotée d'excellentes options et dans un état rare avec un kilométrage très contenu. Swedish title Chassis no. WPOZZZ96ZKS401212 - Excellent original condition, sought-after options - Superb colour combination: red paintwork and beige leather - Manuals, regularly maintained - Less than 65 000 km from new - No reserve For Staffan Wittmark, ‘Guards Red’ is the colour which best sets off the Porsche 964, and was one of the launch colours. For this reason, he has two cars in this colour in his collection, including this Carrera 4 in superb condition which is among the first models of 964 with its characteristic mirrors and rims. In addition to its faultless body and lustrous paintwork (which has probably been resprayed), the car is very well equipped, with a sunroof, electric heated seats with electric lumbar support on the driver’s side, cruise control and air-conditioning (updated to use R134A gas). The rear bonnet struts will need to be replaced, but the front compartment is in superb original condition, complete with its tool kit. The interior is equally attractive, with sumptuous beige extended leather covering the seats, centre console and door panels, matching beige carpets and a Blaupunkt radio. Sold new in Sweden in June 1989, the car has had only four owners from new and has always been maintained by Porsche, as can be seen from its stamped-up service book. It became part of the W Collection in 2017 and has since covered only 100km; today, the odometer shows 64,432km from new. It was recently serviced in 2020 by Porsche Haninge. In 2023, the SRO workshops in Le Castellet checked the sealing of the oil circuit and changed several hoses, as well as revised the ignition by replacing the complete wiring harness and changing an ignition head (a bill of €3,200). This very attractive 964 will be supplied with its manuals, numerous bills and safety inspection reports, as well as both sets of keys. It represents a great opportunity to acquire a Carrera 4 with some excellent options and in unusually good condition with a low mileage.

Estim. 45 000 - 65 000 EUR

Maestro della Scuola Fiamminga del XVII secolo - Maître de l'école flamande du XVIIe siècle Le Christ et la femme adultère Huile sur toile 137,5 x 195,5 cm Cette œuvre exceptionnelle peut être attribuée à l'école flamande du XVIIe siècle. Pour une reconstitution historique et artistique précise de l'œuvre, il nous semble indispensable de mentionner l'existence d'une aquarelle sur papier presque identique, aujourd'hui dans une collection privée italienne, ayant appartenu à Sir Joshua Reynolds. Il considérait l'œuvre comme authentiquement réalisée par Antoon van Dyck (voir photo ci-jointe) et c'est à ce titre qu'elle est passée, après sa mort, entre les mains de sa nièce, qui l'a vendue aux enchères chez Phillips en mars 1798. Les coups de pinceau rapides et précis, savamment dosés même dans l'épaisseur, permettent de penser qu'il s'agit d'un chef-d'œuvre d'un grand maître, malheureusement encore anonyme. Maître de l'école flamande du XVIIe siècle Le Christ et la femme adultère Huile sur toile 137,5 x 195,5 cm Cette œuvre exceptionnelle appartient à l'école flamande du XVIIe siècle. Pour une reconstruction historico-artistique précise de l'œuvre, nous pensons qu'il est essentiel de mentionner l'existence d'une aquarelle sur papier, aujourd'hui dans une collection privée italienne, presque identique et ayant appartenu à Sir Joshua Reynolds. Il considérait l'œuvre comme authentiquement réalisée par Antoon van Dyck (voir la photo ci-jointe) et, à ce titre, elle est passée, après sa mort, entre les mains de sa nièce, qui l'a vendue aux enchères chez Phillips en mars 1798. Le coup de pinceau rapide et précis, mesuré de manière experte, y compris en épaisseur, permet de penser que nous sommes en présence d'un chef-d'œuvre d'un grand maître, malheureusement encore anonyme.

Estim. 15 000 - 25 000 EUR

1986 Porsche 930 Turbo 3.3 No reserve Titre de circulation suédois Châssis n°WPOZZZ93ZGS000690 • État d'origine bien préservé, mécanique d'origine • Options intéressantes, toit ouvrant, climatisation • Entretien régulier, kilométrage raisonnable • Carnets, trousse à outils • Sans reserve Pour Staffan Wittmark, la combinaison de teintes noir/intérieur noir est celle qui sied le mieux à la Porsche 911 Turbo qui, avec son allure agressive et ses ailes ultra-larges, avait défrayé la chronique lors de son lancement en 1975. La voiture présentée a été vendue neuve en Allemagne à Wilhelmshaven en mars 1986 et a été exportée en Suède un an plus tard. Dotée d'origine d'un toit ouvrant, son carnet d'entretien comporte les tampons prouvant qu'elle a été régulièrement révisée, la dernière intervention ayant eu lieu en 2020. Elle affichait alors 73 680 km, pour 73 683 km aujourd'hui et, grâce à ces soins, elle se présente aujourd'hui en bel état. La peinture est ancienne mais bien préservée, la carrosserie d'origine est saine et bien alignée et l'usage n'a provoqué que quelques traces d'impacts sur le pare-chocs et le capot avant. Les jantes Fuchs de 16 pouces ne sont pas marquées. En très bon état d'origine, le coffre comporte gonfleur, trousse à outils et kit de secours encore emballé dans leur plastique Porsche, ainsi que l'étiquette correspondant à la teinte "Schwarz". L'intérieur est de même acabit avec des sièges en cuir à peine patinés et, à l'arrière, pratiquement neufs. L'équipement comporte une climatisation, un essuie-glace arrière, un autoradio Clarion et une fermeture centralisée. La casquette de tableau de bord nécessitera un nettoyage et nous avons noté que l’échappement, ancien, sera à remplacer. Cette voiture est accompagnée de ses carnets et manuels d'utilisation (y compris autoradio et gonfleur), ainsi que de la facture de la révision de 2020 chez Porsche Haninge, en Suède. En bel état d'origine, bien entretenue, affichant un kilométrage raisonnable et un enviable toit ouvrant, cette 911 Turbo ne manquera pas d'attirer l'attention des connaisseurs. Swedish title Chassis no. WPOZZZ93ZGS000690 • Well-preserved original condition, original engine • Interesting options, sunroof, air-conditioning • Regularly maintained, moderate mileage • Books and tool kit • No reserve For Staffan Wittmark, black paintwork and a black interior is the combination best suited to the Porsche 911 Turbo, which, with its aggressive looks and ultra-wide wings, hit the headlines when it was launched in 1975. The car presented here was sold new at Wilhelmshaven in Germany in March 1986 and exported to Sweden a year later. Equipped from new with a sunroof, the stamps in its service book prove it has been regularly serviced, with the last service in 2020. Then reading 73,680km, the odometer has now reached 73,683km. Thanks to this attention, the car is in fine condition today. The paint is old but well preserved and the original bodywork sound, with well-aligned panels and only a few knocks to the bumper and front bonnet resulting from its use. The 16-inch Fuchs wheels are unmarked. In very good original condition, the boot is home to the tyre pump, tool kit and first-aid kit, still in their Porsche plastic packaging, as well as the label for the colour ‘Schwarz’. The interior is just as good, with leather seats which are hardly worn and, in the back, virtually new. The equipment fitted includes air-conditioning, a rear wiper, Clarion radio and central locking. The top of the dashboard will need to be cleaned, and we noted that the exhaust, which is old, should be replaced. The car comes with its books and manuals (including those for the radio and tyre pump), as well as the invoice for the service carried out in 2020 by Porsche Haninge in Sweden. In fine original condition and well maintained, with reasonable mileage and a desirable sunroof, this 911 Turbo will not fail to attract the attention of connoisseurs.

Estim. 90 000 - 120 000 EUR

1970 Porsche 911 2.0 S No reserve Titre de circulation suédois Châssis n° 9110301301 Moteur n° 6301795 • Restauration approfondie • Moteur d'origine • Superbe teinte "Condagrün" d'origine • Sans reserve Cette Porsche 911 S a été vendue neuve en Italie, à Bologne, le 10 avril 1970. Elle était de couleur vert "Condagrün" (code 26) avec intérieur en simili noir. Dans les années 2010, elle a été entièrement restaurée par les établissements Automobilia, spécialiste basé à Reims, et vendue en avril 2016 directement à Staffan Wittmark, séduit par le modèle et la couleur de cette voiture. Elle était alors immatriculée dans la ville de Varese, en Italie. Cette voiture ne semble pas avoir roulé depuis sa restauration, effectuée visiblement avec grand soin. La superbe peinture vert vif est bien appliquée. Intégralement restaure´, le compartiment arrière est équipé du moteur d'origine et, à l'avant, le coffre montre que la tôlerie a été entièrement revue. On retrouve la trousse a` outils et le cric. La voiture repose sur des jantes Fuchs. L'habitacle a été lui aussi remis en état avec des sièges en simili et tissu "Pepita" typique Porsche et que notre collectionneur affectionne, et le tableau de bord en bel état est conforme au modèle. Avec son 6-cylindres 2,2 litres de 180 ch refroidi par air, cette Porsche 911 S fait partie des premières versions de la classique de Stuttgart. Sa carrosserie présente encore la pureté de ligne des origines, sans le spoiler avant qui viendra se rajouter peu après. Cette Porsche 911 S correspond donc à un millésime rare et recherché des collectionneurs et, avec son moteur d'origine et dans sa saisissante couleur "Condagrün", elle présente un attrait tout particulier. Swedish title Chassis no. 9110301301 Engine no. 6301795 • Thoroughgoing restoration • Original engine • Superb original ‘Condagrün’ colour • No reserve This Porsche 911 S was sold new at Bologna, in Italy, on 10 April 1970. It was finished in ‘Condagrün’ (code 26), with a black leatherette interior. In the 2010s, it was completely restored by Automobilia, a specialist in Reims, and sold in April 2016 directly to Staffan Wittmark, who was won over by the model and its colour. At this point, it was registered in Varese, in Italy. The car appears not to have been driven since its restoration, which was evidently carried out with great care. The magnificent bright green paintwork has been well applied. The rear compartment has been fully restored and has the original engine, while at the front, the boot shows that all the panels have received attention. The jack and tool kit are present. The car sits on Fuchs wheels. The interior has also been restored, with seats in leatherette and ‘Pepita’ cloth typical of Porsche and of which our client is fond; the dashboard is in good condition and correct for the model. With its air-cooled 2.2-litre ‘six’ developing 180bhp, this Porsche 911 S is one of the first versions of this classic from Stuttgart. Its body still has the pure styling of the original cars, without the front spoiler which was added shortly afterwards. This 911 S is thus from a model year which is rare and sought after by collectors; with its original engine and striking ‘Condagrün’ colour, it has a very special appeal.

Estim. 130 000 - 160 000 EUR

1959 Porsche 356 A Convertible D No reserve Titre de circulation suédois Châssis n° 086248 • Restauration ancienne de qualité • Un des rares 1331 exemplaires de Convertible D • Belle combinaison de couleurs d'origine • Présente toute la pureté des Porsche 356 des années 50 • Sans réserve La 356 Convertible D était la descendante directe de la 356 Speedster dont elle reprenait la forme en y ajoutant quelques éléments de confort comme un pare-brise plus haut et des vitres remontantes. Comme sa devancière, elle ciblait principalement le marché américain, et c'est bien là qu'a été envoyée la voiture que nous présentons, sortie d'usine en mai 1959 et livrée directement à Max Hoffman, importateur Porsche à New York. C'est ce que mentionne sa fiche de fabrication, qui souligne aussi la présence de pare-chocs US. Nous disposons également d'un "Certificate of Title" daté de 1972 au nom de James Clark, en Arizona, document annulé en 1994 lors de l'importation de la voiture en Allemagne. Elle y est restée jusqu'en 2015, quand elle a été achetée par Staffan Wittmark qui l'a fait venir en Suède. Cette Porsche 356 Convertible D a été restaurée pendant son séjour aux États-Unis et la résistance dans le temps des travaux effectués prouve le sérieux qui a présidé à leur réalisation. L'alignement des ouvrants est très satisfaisant et la peinture "Silbermetall", conforme à l'origine, est superbe. Belle présentation également pour le coffre avant, avec trousse à outils et cric. Le compartiment arrière est équipé d'un moteur dont le carter est dépourvu de numéro frappé. A l’origine la voiture était équipée du moteur numéro 83864. La capote noire est neuve et le séduisant habitacle comporte des sièges refaits avec soin en simili rouge, leur teinte d'origine. Le compteur affiche 47 669 km et un autoradio d'époque complète cet ensemble homogène. Avec sa ligne encore fluide et pure, cette 356 Convertible D, qui est exactement dans la même combinaison de couleurs que le Roadster de 1960 de la collection W, incarne la promesse de moments de grand plaisir au volant ou lors de rassemblements de voitures classiques où elle fera partie des plus admirées. • High-quality, older restoration • One of 1331 Convertible D built • Attractive original colour combination • All the purity of the Porsche 356s from the 1950s • No reserve The 356 Convertible D was the direct descendant of the 356 Speedster, keeping its overall shape but adding some comfort features such as a taller windscreen and wind-up windows. Like its predecessor, it was aimed primarily at the North American market, and this was indeed the destination of the car we are presenting. It left the factory in May 1959 and was delivered direct to Max Hoffman, the Porsche importer in New York. This is mentioned in its build card, which also notes the fitment of US bumpers. We also have a Certificate of Title from 1972, in the name of James Clark, in Arizona; this was cancelled in 1994 when the car was imported into Germany. It remained there until 2015, when it was bought by Staffan Wittmark, who had it sent to Sweden. The Porsche was restored during its time in the States and the way in which the work carried out has withstood the passage of time testifies to the care taken over it. The panel gaps are very satisfactory and the ‘Silbermetall’ paint, as originally specified, is superb. The front luggage compartment, with the tool kit and jack, also presents well. At the rear, there is no number stamped on the sump of the engine now installed. Originally, the car had the engine no. 83864. The black hood is new and the attractive interior features carefully retrimmed seats in red leatherette, their original colour. The odometer reads 47,669km and a period radio rounds off this harmonious whole. With its design which was still fluid and pure, this 356 Convertible D, finished in the same combination of colours as the 1960 Roadster in the W Collection, promises moments of great pleasure behind the wheel or at gatherings of classic cars, where it will be among the models most admired.

Estim. 120 000 - 160 000 EUR

1968 Porsche 911 2.0 SWB No reserve Titre de circulation suédois Châssis n° 11825411 • Rare version "châssis court" • Belle restauration avec améliorations mécaniques • Superbe présentation dans sa teinte "Blutorange" d'origine • Sans réserve Cette voiture était déjà revêtue de cette belle couleur "Blutorange" (code 6809B) lors de sa livraison neuve, en Italie, comme en témoigne sa fiche de fabrication Porsche. Dans les années 2000, elle appartenait à un amateur hollandais avant d'être vendue en 2006 en Allemagne. Elle y a été restaurée par le préparateur Irmgartz Motorsport, de Neuwied, qui a apporté quelques modifications orientées vers un plus grand plaisir de conduite, comme un rapport de pont plus court, un moteur plus puissant que celui d'origine, et des amortisseurs Koni plus fermes. C'est par le spécialiste bien connu Stentenbach Classics qu'elle a été vendue en 2016 à Staffan Wittmark, son actuel propriétaire suédois qui affectionne le "Blutorange" pour les 911 avant 1970. Cette voiture, qui correspond à la dernière année des 911 "châssis court", semble avoir très peu roulé depuis sa remise en état. La carrosserie est très belle sur ses quatre jantes Fuchs de 15 pouces, et le compartiment avant comporte sa trousse à outils, une jante de secours ATS plus moderne et un coupe-batterie. Le compartiment moteur offre une belle présentation et permet de remarquer les deux carburateurs Weber triple corps qui assurent l'alimentation du 6-cylindres à plat refroidi par air. L'intérieur a été entièrement refait avec des sièges en similicuir et tissus "Pepita" pied-de-poule, des moquettes neuves et un ciel de toit noir. De belle facture, ce beau coupé présente l'attrait des toutes premières 911, dans une configuration légèrement modifiée pour des sensations de conduite encore plus grisantes. Swedish title Chassis no. 11825411 • Rare short-wheelbase version • Well restored, with mechanical improvements • Superbly presented in its original colour of ‘Blutorange’ • No reserve This car was already finished in the lovely shade of ‘Blutorange’ (code 6809B) when it was supplied new in Italy, as its build card from Porsche shows. In the 2000s, it was owned by a Dutch enthusiast before being sold in Germany in 2006. There, the car was restored by the tuning firm Irmgartz Motorsport, in Neuwied, who made various improvements to make it more enjoyable to drive, including a shorter final drive ratio, an uprated engine and firmer Koni shock absorbers. In 2016, it was sold by the well-known specialist Stentenbach Classics to Staffan Wittmark, its current Swedish owner, who has a liking for the ‘Blutorange’ colour on pre-1970 911s. This car, from the final year of 911 short-wheelbase production, appears to have been little used since it was restored. Sitting on 15-inch Fuchs alloys all-round, the bodywork is very handsome, and the front compartment is home to the tool kit, a more modern ATS spare wheel and a battery cut-out switch. Inside the attractively presented engine compartment, the twin triple-barrel Weber carburettors which feed the air-cooled flat-six can be seen. The interior has been completely restored, with seats in leatherette and houndstooth cloth, new carpets and a black headlining. Well presented, this good-looking coupé offers the appeal of the very first 911s, with a slightly modified specification to make it all the more exhilarating to drive.

Estim. 70 000 - 110 000 EUR

KEITH HARING (Pennsylvanie, 1958- New York, 1990). "Autoportrait, 1987. Encre sur papier. L'œuvre porte l'étiquette de la galerie Tony Shafrazi et le numéro de stock 1435, exempté d'encadrement. Encadré avec un verre de musée. Signé et daté sur le côté droit. Dimensions : 26 x 32,5 cm ; 43 x 49 cm (cadre). Keith Haring s'est représenté à de nombreuses reprises, toujours avec ses lunettes emblématiques comme sceau d'identité. Dans ces autoportraits, l'artiste offre une vision de lui-même, non seulement physique mais aussi personnelle, révélant ainsi au spectateur l'opinion qu'il a de lui-même, comme on peut le voir dans l'autoportrait en sphinx. Dans ce cas particulier, il ne s'agit pas d'un seul autoportrait mais de deux, puisqu'il nous montre son propre buste peint par l'un de ses monigots emblématiques, qui sont un alter ego de l'artiste lui-même. Considéré comme la tête visible de l'art urbain dans les années 80, la carrière professionnelle imparable de Haring, qui l'a conduit à devenir le collègue de Warhol et une superstar des médias, a commencé avec son travail dans le métro de New York. L'énorme popularité du travail urbain de Haring auprès des New-Yorkais a immédiatement attiré l'attention de l'establishment artistique. Andy Warhol l'adopte dans son cercle et le galeriste Tony Shafrazi, alors débutant, organise pour lui une exposition solo retentissante en 1982, qui sera la rampe de lancement de son succès irrésistible. Il expose bientôt ses œuvres à la galerie de l'influent Leo Castelli et s'impose comme une star de l'art professionnel. Keith Haring est un artiste américain dont le pop art et les graffitis sont nés de la culture de la rue à New York dans les années 1980. L'œuvre de Haring a gagné en popularité grâce à ses dessins spontanés réalisés à la craie dans le métro de New York sur des fonds d'espaces publicitaires en noir et blanc. Par la suite, il a souvent abordé des questions politiques et sociales, en particulier l'homosexualité et le sida, à travers sa propre iconographie. Aujourd'hui, les œuvres de Haring sont réparties entre de grandes collections privées et publiques, notamment le Museum of Modern Art et le Whitney Museum of American Art à New York, le Los Angeles County Museum of Art, l'Art Institute of Chicago, le Bass Museum à Miami, le Musée d'Art Moderne de la Ville de Paris, le Ludwig Museum à Cologne et le Stedelijk Museum à Amsterdam. Il a également créé une grande variété d'œuvres publiques, notamment l'infirmerie du Children's Village à Dobbs Ferry (New York) et la salle des hommes du deuxième étage du Lesbian, Gay, Bisexual & Transgender Community Center à Manhattan, qui a ensuite été transformée en bureau et est connue sous le nom de Keith Haring Room. En janvier 2019, une exposition intitulée "Keith Haring New York" a été inaugurée à la New York Law School dans le bâtiment principal de son campus de Tribeca. L'œuvre porte l'étiquette de la Tony Shafrazi Gallery et le numéro de stock 1435, qui ne nécessite pas d'encadrement.

Estim. 6 000 - 8 000 EUR

Rare planétarium de Jan Felkl pour le marché italien. Prague, env. 1860, le globe porte la mention "Globo Terrestre, edizione J. Felkl", 12 segments de globe lithographiés en couleur montés sur une sphère en plâtre, boules en bois tournées représentant la lune et trois autres planètes, miroir bombé en laiton, chandelier, le disque d'horizon imprimé avec indication des saisons, des points cardinaux, des signes du zodiaque, de la division des jours et des mois. Châssis en fonte de fer bronzée, le mécanisme d'entraînement en laiton, très bon état d'origine, entièrement fonctionnel. Longueur : env. 85 cm. Hauteur : env. 53 cm. Diamètre du globe : env. 8,5 cm. Édition muséale, particulièrement précoce et très rare dans cette version avec le pied en forme d'araignée, du planétarium de Jan Felkl (1817-1887), qui produisit d'abord des globes de 6 tailles différentes en 1855, puis des telluries, lunaires et planétariums à partir de 1858/1861. Felkl a commencé comme aide-poste à Prague et est devenu le plus grand fabricant de globes de la monarchie austro-hongroise. Cf. bibliographie : Peter E. Allmayer-Beck, Modelle der Welt, Vienne Brandstätter 1997. Un rare planétarium Jan Felkl pour le marché italien. Prague c. 1860, le globe terrestre signé "Globo Terrestre, edizione J. Felkl", 12 gores chromo-lithographiés montés sur une sphère en plâtre, une lune en bois et trois planètes, un miroir en laiton, un porte-bougie, l'horizon imprimé montrant les saisons, les directions de la boussole, le zodiaque, les jours et les mois. Le support est en fonte patinée, le mécanisme en laiton d'origine est en très bon état de fonctionnement. Longueur c. 85 cm, hauteur c. 53 cm, diamètre du globe c. 8.5 cm.

Estim. 8 000 - 12 000 EUR

1969 Porsche 911 2.2 S Targa No reserve Titre de circulation suédois Châssis n° 911 031 0298 Moteur n° 630 1114 • État d'origine exceptionnel, mécanique d'origine • Précieux dossier historique • Deux propriétaires seulement de 1970 à 2009 • Superbe teinte jaune clair (Hellgelb) • Sans réserve La particularité de cette voiture est d'être dans un état d'origine tout à fait hors du commun, complété par un dossier historique impressionnant. Vendue neuve à Francfort via Porsche Glöckler en immatriculation export à William Keating, acheteur californien de Walnut Creek, elle a été envoyée aux États-Unis où elle a été vendue en 1983 à son deuxième propriétaire, Edward Fry Alameda, qui l'a conservée jusqu'en 2009. Elle a été découverte en 2019 chez un revendeur allemand par un ami de Staffan Wittmark qui s'est empressé d'en faire l'acquisition, conquis par son état d'origine exceptionnel. La carrosserie semble n'avoir jamais été démontée et la peinture très ancienne garde un très bel éclat. Deux phares antibrouillards sont installés de part et d'autre du capot qui a peut-être été repeint, et les compartiments avant et arrière sont dans un état de préservation surprenant. A l'intérieur, sans doute complètement d'origine, les sièges ne montrent ni marque ni déchirure et le signe d'usure le plus évident se situe sur la trappe de haut-parleur, gondolée par le soleil. Le tableau de bord est équipé d'un autoradio Blaupunkt et la voiture comporte encore son moteur d'origine, refait en 1991 par le deuxième propriétaire. En plus du certificat des douanes allemandes du 30 janvier 1970, le dossier comprend les certificats de paiement des taxes californiennes, le carnet d'entretien d'origine tamponné de 1970 à 1996, de nombreuses factures depuis 1982 et un jeu de clés de rechange. En suivant le carnet de service et considérant l’état de la voiture on peut penser que les 43 295 km du compteur correspondent à un kilométrage d’origine de 143 295 km. Cette 911 S Targa est une des mieux préservées des survivantes du modèle, sachant qu'il est extrêmement rare de trouver une voiture en bon état d'origine, jamais restaurée. Dans sa belle teinte jaune clair (Hellgelb numéro 6210 code 117), elle permettra à son nouveau propriétaire de comprendre ce que les premiers acheteurs de Porsche 911 pouvaient ressentir, au volant d'une voiture qui a gardé toute son intégrité d'époque. • Exceptional original condition, original engine • Invaluable history file • Only two owners from 1970-2009 • Superb light yellow paintwork (‘Hellgelb’) • No reserve What makes this car stand out is its exceptional original condition, along with its impressive history file. Sold new with export plates through Porsche Glöckler in Frankfurt to William Keating from Walnut Creek, California, it was shipped to the States, where it was sold in 1983 to its second owner, Edward Fry Alameda, who kept it until 2009. It was discovered in 2019 at a German dealer’s by a friend of Staffan Wittmark, who was won over by its exceptional original condition and lost no time in buying it. The body appears never to have been stripped down and the very old paintwork still has a lovely shine. A pair of fog lamps have been fitted on either side of the bonnet, which may have been repainted, and the front and rear compartments are in surprisingly well-preserved condition. The interior is undoubtedly completely original, with no marks or tears on the seats; the most obvious sign of wear is on the speaker grille, which has been warped through exposure to the sun. The dashboard is equipped with a Blaupunkt radio and the car still has its original engine, rebuilt in 1991 by the second owner. As well as the German customs certificate from 30 January 1970, the history file includes certificates for the payment of Californian taxes, the original service book with stamps from 1970-1996, numerous bills since 1982 and a spare set of keys. Based on the service book and the condition of the car, it may be assumed that the mileage of 43,295km on the odometer corresponds to a true mileage from new of 143,295km. This 911 S Targa is one of the best preserved survivors, bearing in mind that it is extremely rare to find a car in good original condition which has never been restored. With its attractive light yellow paintwork (‘Hellgelb’, no. 6210/code 117), it will allow its new owner to appreciate what the first customers for the Porsche 911 must have felt, at the wheel of a car which has retained its integrity ever since.

Estim. 150 000 - 200 000 EUR

SONIA DELAUNAY (Odessa, 1885 - Paris, 1979). "Costume", 1922. Pinceau, plume et encre de Chine sur papier. Signé et daté en bas à droite. Dimensions : 31 x 25 cm ; 52 x 43 cm (cadre). Bibliographie - J. Damase, Sonia Delaunay, dessins en noir et blanc, Paris, 1978, p. 190 (illustré p. 112, avec des dimensions incorrectes et daté "1926"). - E. Morano, Sonia Delauna, Art into Fashion, New York, 1986, p. 59 (illustré). Avec son style synthétique caractéristique, Delaunay crée dans cette œuvre un dessin figuratif, mettant en scène une femme. L'œuvre, en particulier les vêtements de la protagoniste, rappelle certains motifs que l'artiste a réalisés sur toile dans les années 1920. Née Sonia Ilínichna Stern, Sonia Delaunay est plus connue sous son nom de femme, qu'elle a adopté après avoir épousé Robert Delaunay. Peintre et designer française d'origine ukrainienne, elle fut, avec son mari, l'une des principales représentantes de l'art abstrait, ainsi que la créatrice du simultanéisme. Elle grandit à Saint-Pétersbourg, au contact de la collection de peintures de l'école de Barbizon de son oncle et de la vie culturelle de la ville. En 1903, elle part en Allemagne pour parfaire sa formation, où elle découvre la peinture contemporaine et étudie le dessin avec Schmidt-Reuter. Deux ans plus tard, il s'installe à Paris et s'inscrit à l'Académie de la Palette, où il est également initié à la gravure par Grossman. Au cours de ces années, il se rapproche de l'avant-garde européenne par le biais de l'expressionnisme allemand, avec une œuvre qui révèle également des échos du post-impressionnisme. En 1908, il organise sa première exposition, présentant des œuvres de la période fauve qu'il vient d'initier. Deux ans plus tard, il épouse Delaunay, avec qui il partage des préoccupations esthétiques. Leur art s'oriente alors vers l'abstraction. L'artiste s'orientera ensuite vers les arts décoratifs, toujours avec un langage coloriste purement abstrait qui attirera l'attention de ses pairs mais aussi de la critique. Si, en 1912, elle revient à la peinture, sa renommée de designer est déjà établie dans toute l'Europe. Dès lors, elle participe fréquemment à d'importantes expositions européennes, telles que le Salon d'automne de Berlin ou le Salon des Indépendants à Paris. Pendant la Première Guerre mondiale, elle vit en Espagne et au Portugal, où elle développe une intense activité créatrice, notamment en collaborant avec le ballet de Diaghilev. En 1921, le couple revient à Paris, où Sonia Delaunay continue à travailler sur d'importants projets, tout en exposant ses œuvres en Europe et aux États-Unis. Reconnue dès les années cinquante, des compilations de son œuvre commencent à être publiées et, en 1958, une première rétrospective lui est consacrée à Bielefeld (Allemagne). En outre, en 1975, elle a été nommée officier de la Légion d'honneur française. Actuellement, Delaunay est représentée dans de grandes collections à travers le monde, notamment au MoMA de New York, à l'Ermitage de Saint-Pétersbourg, au Reina Sofia de Madrid, à l'Albertina de Vienne et à Haïfa en Israël.

Estim. 12 000 - 14 000 EUR

MIQUEL BARCELÓ ARTIGUES (Felanitx, Majorque, 1957). "Crânes Papaie", 1999. Aquarelle sur papier. Signée et datée dans la partie inférieure. Dimensions : 56 x 76 cm ; 76 x 96 cm (cadre). Cette œuvre démontre des aspects totalement personnels de Barceló, impossibles à relier à ses influences ou à ses prédécesseurs, dont le plus remarquable est sa rupture avec la tradition grâce à sa recherche inlassable de nouvelles formules et à sa fascination pour les différents aspects de la nature. Cette aquarelle en est un exemple, puisque l'artiste part de la traditionnelle "vanité", mais sa technique et la tendance au tellurique nous rapprochent d'une image totalement organique qui ne transmet pas la fugacité de la vie, mais une conception cyclique de celle-ci. Dans ce travail, le Majorquin crée une œuvre d'une grande expressivité, fermement enracinée dans la nature et la tradition archaïque, qui révèle en même temps une modernité surprenante et brillante. Peintre et sculpteur, Barceló a commencé sa formation à l'École des arts et métiers de Palma de Majorque, où il a étudié entre 1972 et 1973. En 1974, il fait ses débuts individuels, à l'âge de dix-sept ans, à la galerie Picarol de Majorque. La même année, il s'installe à Barcelone, où il s'inscrit à l'école des beaux-arts Sant Jordi, et effectue son premier voyage à Paris. Dans la capitale française, il découvre les œuvres de Paul Klee, Fautrier, Wols et Dubuffet, ainsi que l'art brut, un style qui exercera une influence importante sur ses premières peintures. Pendant ces années, il lit beaucoup et s'enrichit d'ouvrages aussi divers que les écrits de Breton et des surréalistes, le "Manifeste blanc" de Lucio Fontana ou l'"Histoire sociale de la littérature et de l'art" d'Arnold Hauser. En 1976, il organise sa première exposition personnelle dans un musée : "Cadaverina 15" au Musée de Majorque, qui consiste en un montage de 225 boîtes en bois avec des couvercles en verre, contenant des matériaux organiques en décomposition. La même année, de retour à Majorque, il rejoint le groupe Taller Lunàtic et participe à ses événements sociaux, politiques et culturels. En 1977, il effectue un second voyage à Paris, et se rend également à Londres et à Amsterdam. La même année, il expose pour la première fois à Barcelone et rencontre Javier Mariscal, qui deviendra l'un de ses meilleurs amis dans cette ville. Avec lui et le photographe Antoni Catany, il participe, en tant que membre du groupe "Neón de Suro", à des expositions au Canada et en Californie, et collabore à la publication de la revue du même nom. C'est également en 1977 qu'il reçoit sa première commande picturale de grand format : une peinture murale pour la salle à manger d'un hôtel de Cala Millor, à Majorque. L'année suivante, à l'âge de 21 ans, il vend ses premières œuvres à quelques collectionneurs et galeries, et s'installe finalement à Barcelone. Sa reconnaissance internationale commence au début des années 80, donnant un coup de fouet définitif à sa carrière après sa participation à la Biennale de São Paulo (1981) et à la Documenta de Kassel (1982). En 1986, il reçoit le prix national des arts plastiques et, depuis lors, son œuvre a été récompensée par de nombreux prix, tels que le prix Prince des Asturies pour les arts (2003) et le prix Sorolla de la Hispanic Society of America de New York (2007). Barceló est actuellement représenté dans les plus grands musées d'art du monde, tels que le MoMA de New York, le Centre Pompidou de Paris, le Guggenheim de Bilbao, etc.

Estim. 18 000 - 20 000 EUR

MARK JENKINS (Virginie, 1970). "Tel père, tel fils", 2017. Paire de sculptures en techniques mixtes. Mesures : 180 x 90 x 50 cm (la plus grande). "Tel père, tel fils" pourrait être le titre alternatif de "Tel père, tel fils", une paire de sculptures hyperréalistes représentant un garçon et un homme qui cachent leur identité derrière une cagoule, portant des vêtements décontractés et tenant dans une main une barre de métal. La couleur noire qui recouvre les personnages les transforme en ombres métaphoriques, en projections mentales des peurs collectives qui nous saisissent dans les villes. Mark Jenkins s'est fait connaître et reconnaître pour ce type de personnages de rue (vagabonds, cagoulés, suspects par leur apparence ou par leurs postures étranges) qu'il plaçait dans l'espace public sans préavis et qui, à de nombreuses reprises, ont fait intervenir la police, les pompiers ou les ambulances. Mark Jenkins est un artiste américain qui crée des installations sculpturales de rue. Il utilise la "rue comme une scène", où ses sculptures interagissent avec l'environnement, y compris avec les passants qui deviennent involontairement des acteurs. Ses installations attirent souvent l'attention de la police. Son travail a été décrit comme fantaisiste, macabre, choquant et situationniste. Jenkins cite Juan Muñoz comme sa première source d'inspiration. En plus de créer des œuvres d'art, il enseigne ses techniques de sculpture et ses pratiques d'installation dans le cadre d'ateliers. Il vit actuellement à Washington, DC. En 2005, il commence à travailler avec Sandra Fernandez sur le Storker Project, une série dans laquelle des moulages transparents de bébés-jouets sont installés dans différentes villes pour interagir avec l'environnement qui les entoure[10]. Jenkins et Fernandez ont ensuite créé d'autres installations avec des animaux en ruban : des chiens jouant dans les ordures, des girafes grignotant les sacs en plastique des arbres et des canards nageant dans les fossés. D'autres projets en plein air explorant l'interférence culturelle incluent Meterpops, Traffic-Go-Round et Signs of Spring. En 2006, Jenkins a commencé la série Embed. Des moulages de ruban adhésif ont été remplis de papier journal et de ciment, puis habillés pour créer des duplicatas sculpturaux hyperréalistes de lui-même et de Fernandez. Ces nouvelles installations sculpturales très réalistes ont semé la confusion et poussé certains passants à appeler le 911, ce qui a entraîné l'arrivée sur les lieux de la police et, parfois, des unités de secours. En 2008, Jenkins a collaboré avec Greenpeace à une campagne de sensibilisation, Plight of the Polar Bears, pour attirer l'attention sur la fonte des calottes glaciaires de l'Arctique. Jenkins a créé des personnages réalistes qui ressemblaient à des sans-abri, mais avec des têtes d'ours polaires empaillées. Jenkins a participé à des événements d'art public tels que Interference (Barcelone, 2008), BELEF (Belgrade, 2009), Dublin Contemporary 2011, Inside Out (Southeastern Center for Contemporary Art, Winston-Salem, 2009), Living Layers (Rome, 2012), Les Vraisemblables (Nuit Blanche, Paris, 2014), Passages Insolites (Ex Muro, Québec, 2021) Embed Bodies (Un Été au Havre, Le Havre, 2022). Dans le domaine des intérieurs, Jenkins a exposé internationalement dans des galeries et des musées, tout en poursuivant sa série Embed dans des lieux publics tels que des cafés, des écoles et des halls d'entrée d'immeubles. Parmi les expositions personnelles, citons Glazed Paradise à Diesel Gallery (Tokyo, 2008), Meaning is Overrated à Carmichael Gallery (Los Angeles, 2009), Terrible Horrible à Ruttkowski, Gallery (Cologne, 2014), Moment of Impact à Lazarides Gallery (Londres, 2015), et Remix à L'Arsenal (Montréal, 2016). En 2018, Jenkins et Fernandez ont créé Project84, à Londres, en Angleterre. L'œuvre a été conçue pour sensibiliser au suicide des hommes adultes. Sur le plan commercial, Jenkins a collaboré avec la marque de mode Balenciaga.

Estim. 20 000 - 22 000 EUR

EUROPE DE L'EST, Lot de billets - EUROPE DE L'EST Lot de billets Un album comprenant Albanie, 20 Franka ari, (1926) ; 20 Franga (1939) ; Bohême et Moravie, 1000 Korun, 1942 (5 dont 3 specimen) ; 500 Korun, 1942 (3 dont un specimen) ; Bulgarie, 100 Leva Zlato, (1916) ; 20 Leva Zlato, (1916) ; 20 Leva Zlatni, (1917) ; 5 Leva Srebrni, (1917) ; 1000 Leva (3), 1925, 1938, 1942 ; 500 Leva (4), 1938, 1943, 1945, 1948 ; 250 Leva, 1948 ; 200 Leva, 1948 ; Croatia, 5000 Kuna, 1943 (2); 1000 Kuna (2), 1941, 1943 ; 500 Kuna, 1941 ; Estonie, 50 Krooni, 1929 ; 10 Krooni, 1929 ; 5 Marka, 1919 ; 3 Marka, 1919 ; Lettonie, 25 Rubli, 1919, série L ; 25 Latu, 1928 ; Montenegro, Perper, 1914 ; 2 Perpera, 1914 ; 2 Perpera, 1914 Cetinje ; Pologne, 1000000 Marek, 1923 ; 250000 Marek, 1923 ; 1000 Marek, 1919 ; 500 Marek, 1919 (2) ; 100 Marek, 1916 ; 5 Groszy, 28.4.1924, moitié gauche ; 100 Zlotych et 20 Zlotych tamponnés 150 LAT BANKU POLSKIEGO 1828-1978 ; Roumanie, 500 Lei (2), 19330, 1931 ; 10 Lei, 1877 perforations ; Serbie, 10 Dinara, 1893 ; Tchécoslovaquie, 5000 Korun specimen, 1920 ; 1000 Korun, 1919 ; 500 Korun, 1945 ; 50 Korun, 1919 ; 20 Korun specimen, 1949 ; 10 Korun, 1919 ; 5 Korun, 1919 ; Yougoslavie, 1000 Dinara, 1931 ; 500 Dinara, 1935 ; 400 Kronen/100 Dinars, (1919) ; 100 Dinara (4), 1920, 1929 (2), 1941 VERIFICATO, etc. PROVENANCE: Collection Huyge. Etats variés, certains avec du papier collant, de nombreux avec des numéros annotés dans la marge, de médiocre à presque neuf. (c.600)

Estim. 300 - 500 EUR