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RENÉ LALIQUE (Aÿ, France, 1860- Paris, 1945). Plafonnier Modèle Gaillon, vers 1926. Émail pressé modelé et monture en bronze. Il présente des traces d'usure. En état de marche. Dimensions : 19 x 47 x 47 cm. Le dessin de la sculpture qui se trouve sur l'écran présente des motifs de caractère végétal complètement synthétisés et disposés de manière symétrique et rythmique, puisqu'ils se répètent. La pièce est dotée d'appliques en laiton pour les lumières et d'un cordon qui sert à soutenir la structure de l'abat-jour et à le fixer au plafond, orné d'un grand pompon. La maison Lalique a été fondée par René Jules Lalique (1860 - 1945), l'un des verriers les plus en vue de l'époque, et l'un des premiers à sculpter le verre pour de grandes œuvres monumentales, telles que les fontaines des Champs-Élysées. Il jouit d'une grande notoriété grâce à ses créations originales de bijoux, de flacons de parfum, de verres, d'assiettes, etc. dans les styles Art nouveau et Art déco. Il se forme auprès du joaillier parisien Louis Aucoq, puis poursuit ses études au Sudenham Art College de Londres. L'excellence de ses créations et le goût qu'il met dans ses œuvres lui valent d'importantes commandes pour la décoration intérieure de navires, de trains comme l'Orient Express, d'églises comme Saint-Nicaise à Reims et de nombreuses orfèvreries religieuses et civiles. Lalique ne s'est pas contenté de concevoir ses modèles, il a également fondé une usine pour en produire de grandes quantités, brevetant plusieurs procédés innovants de fabrication du verre, ainsi que divers effets techniques tels que le "satin Lalique" ou le verre opalescent. Les pièces de Lalique sont conservées dans d'éminents musées tels que le Corning Museum of Glass et le Metropolitan à New York, le Louvre ou l'Orsay à Paris, parmi beaucoup d'autres. Usure et détérioration. En fonctionnement.

Estim. 1 000 - 1 200 EUR

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PETER TERESZCZUK (Autriche, 1875-1963). "Les jeunes". Bronze bleui et bakélite. Base en marbre. Présente des défauts. Dimensions : 17,5 x 11 x 9,5 cm. Sculpture ronde de caractère mobile dans laquelle sont représentées deux jeunes personnes. Les filles habillées en paysannes ont des charnières dans leurs jupes de telle sorte que le spectateur peut ouvrir la jupe des deux jeunes femmes, laissant voir partiellement le corps nu des protagonistes. Peter Tereszczuk était un sculpteur autrichien. Né à Wybudow, dans l'actuel district de Kosowa, dans la province ukrainienne de Ternopil, Peter Tereszczuk a vécu son apogée créative entre 1895 et 1925 à Vienne. Il est connu dans les cercles de collectionneurs pour ses figurines en bronze de style Art déco, parfois avec des inserts en ivoire (par exemple des visages en ivoire sculpté). En tant que représentant de l'Art nouveau, il a réalisé non seulement de petites sculptures, mais aussi une série d'objets utilitaires tels que des ensembles de bureau ou des lampes, qui ont été fabriqués à la main par Arthur Rubenstein et Weichmann, à Wiesbaden. Cette pièce s'inscrit dans la lignée des figures chryséléphantines en bronze et en ivoire qui ont connu un grand succès à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle, et qui tirent leur nom de l'Athéna en or et en ivoire de Phidias. Présente des défauts.

Estim. 300 - 400 EUR

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Lampadaire ; vers 1960. Verre et fonte. En état de marche. Dimensions : 156 x 39,5 x 39,5 cm : 156 x 39,5 x 39,5 cm. Lampadaire avec structure en fonte. La pièce repose sur un pied rond qui laisse place à une tige du même matériau qui se distingue par un design inspiré de la nature. Celle-ci est définie par un ensemble de feuilles qui se superposent en hauteur et restent légèrement ouvertes dans la partie supérieure pour laisser place à la structure cylindrique qui accueille l'abat-jour en verre.

Estim. 800 - 1 000 EUR

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Plafonnier : milieu du XXe siècle. Verre creusé turquoise et laiton doré. Dimensions : 53 x 35 x 35 cm ; 19 x 35 x 35 x 35 cm. Plafonnier avec structure en laiton doré et abat-jour en verre turquoise. La pièce part d'une applique murale d'inspiration clairement végétale, à partir de laquelle trois chaînes ornementées soutiennent également l'abat-jour. Ce dernier a un design hémisphérique où le verre est mêlé au laiton, comme un plomb.

Estim. 300 - 400 EUR

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Plafonnier ; France, première moitié du XXe siècle. Verre. Dimensions : 18 x 52 x 52 cm. Plafonnier avec structure en cordon qui supporte l'abat-jour en verre. Celui-ci présente un design concave de profil rond avec différentes nuances de couleurs qui se superposent. Il offre un éclairage doux et diffus qui apporte une grande valeur esthétique à tout espace intérieur.

Estim. 200 - 300 EUR

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Plafonnier ; NOVERDY, Dijon, France, vers 1930. Verre moulé, pressé et taillé. Dimensions : 11 x 38 x 38 cm (plafond). Dans les années 1920, Jean Noverdy, élève de M. Dubret, crée sa propre verrerie à Dijon, 17, place Bossuet. Pour tirer parti de l'éclairage électrique, il conçoit des lampes dont les abat-jours sont le plus souvent en verre à deux couches entre lesquelles il pulvérise des émaux colorés pour donner un aspect marbré. Les vases et les abat-jours en verre moulé font également partie de sa production. Il utilise les mêmes techniques que Daum Frères, André Delatte et Muller Frères à cette époque.Entre 1926 et 1928, il est présent au Salon de la Société des Artistes Français à Paris.

Estim. 200 - 300 EUR

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Plafonnier ; DEGUÉ ; France, vers 1930. Verre pressé. Signé. Dimensions : 12 x 38 x 38 cm. Plafonnier Art déco d'inspiration florale avec abat-jour en verre pressé, dont le design s'inspire du monde végétal. Degué, fondée par David Guéron, artiste et industriel du verre d'origine turque. Il dirigea la Verrerie d'Art Degué, boulevard Malesherbes à Paris, de 1926 à 1939. Au début des années 1920, il produit ce type de verrerie compiégnoise, en introduisant progressivement des modèles Art déco dans ses créations. La Seconde Guerre mondiale met fin à son activité de verrier d'art et Guéron quitte la France pour les États-Unis en 1939, pendant la période de guerre.

Estim. 500 - 600 EUR

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Plafonnier ; MAXONADE ; Paris, vers 1930. Verre émaillé. Signé. Dimensions : 12 x 46 x 46 cm : 12 x 46 x 46 cm. Plafonnier Art déco de Maxonade Verrier D'Art, Paris, avec une décoration de motifs géométriques stylisés. Le dessin est peint à la main et réalisé avec de la peinture émaillée selon une technique très élaborée. Maxonade était une entreprise moderniste d'éclairage et de mobilier Art déco spécialisée dans les soffites en verre émaillé et revêtu de tubes, semblables à ceux de Loys Lucha. Maxonade Verrier d'Art "Spécialiste du Luminaire Moderne" était situé au 54 bis Rue Labrouste, Paris 15eme, atelier et salle d'exposition. En 1935, les locaux sont situés au 20 bis rue La Boetie, ainsi qu'au 75 boulevard du Montparnasse.

Estim. 200 - 300 EUR

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Plafonnier ; LION HUGUE, France, début du XXe siècle. Verre moulé dépoli et laiton doré. Légère restauration. Dimensions : 88 x 67,5 x 67,5 cm : 88 x 67,5 x 67,5 cm. Lampe avec structure en laiton et lampes avec abat-jour en verre. La pièce s'inspire des formes naturelles, comme les courbes sinueuses des plantes et des fleurs. Son design se caractérise par un sens du dynamisme et du mouvement, souvent donné par l'utilisation de lignes courbes. Léon Hugue était un fabricant de lampes Art déco à Paris pendant la période Art déco. Il utilisait souvent des abat-jours fabriqués par Degué pour ses lampes.

Estim. 2 500 - 2 300 EUR

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Plafonnier Art déco ; premier tiers du vingtième siècle. Verre, opaline, laiton doré et cordons en tissu. En état de marche. Dimensions : 99 x 41 cm. Lampe en verre, opaline et laiton doré. Cette pièce s'inspire des formes naturelles, telles que les courbes sinueuses des plantes et des fleurs. Son design est caractérisé par un sens du dynamisme et du mouvement, souvent donné par l'utilisation de lignes courbes, comme on peut le voir dans la structure à partir de laquelle les lampes sont suspendues. La pièce conserve une grande symétrie, particulièrement évidente dans les abat-jours en verre qui recréent la corolle d'une fleur, tandis que l'abat-jour central, plus grand, a également une forme ogivale.

Estim. 800 - 1 200 EUR

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Paire de chandeliers ; HUGO BERGER, vingtième siècle. Fer patiné. Ils présentent des traces d'usure. Signé sur la base. Dimensions : 21 x 14 x 14 cm (x2). En 1895, Hugo Berger (Goberg) a fondé à Schmalkalden (Allemagne) sa première usine métallurgique, où l'on fabriquait des ferronneries décoratives de manière traditionnelle. Le travail de Goberg se caractérise par l'utilisation de matériaux honnêtes tels que le fer et le laiton. Le caractère artisanal attire clairement l'attention. Son style, sa méthode et ses matériaux s'inscrivent parfaitement dans le mouvement Arts & Crafts, un style très populaire à l'époque. Au début du 20e siècle, il s'est fait connaître dans le monde entier, car les grands magasins Liberty et d'autres magasins associés vendaient une grande partie de ses œuvres. Ils présentent des signes d'usure.

Estim. 100 - 150 EUR

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Table d'appoint Art déco à la manière d'EDGAR BRANDT (France, 1880-1960) ; Première moitié du 20e siècle. Fonte et marbre. Dimensions : 57 x 69 x 44 cm : 57 x 69 x 44 cm. Table avec structure en fonte qui présente une structure d'une grande légèreté, puisqu'elle part d'un pied d'où partent quatre jambes qui soutiennent le plateau. Le plateau est en marbre d'une grande expressivité dans son grain et a un périmètre circulaire. Forgeron français, Edgar Brandt a été l'un des plus importants artisans du fer de la période Art déco française, faisant un bond international et étendant sa renommée dans le monde entier. Il a réalisé des treillis et des lampes pour de nombreuses maisons privées et des hôtels ; il a également reçu des commandes publiques, telles que le monument de la Première Guerre mondiale. Brandt expose aux Salons annuels, où il présente une grande variété d'objets métalliques non architecturaux, tels que des grilles, des cache-radiateurs, des lampes ou des consoles. L'Exposition de 1925 fournit à Brandt de nombreuses occasions de présenter son travail, à commencer par l'imposante entrée de l'Exposition, la Porte d'honneur. Il a toujours eu une grande facilité à combiner les matériaux : généralement le fer forgé et le bronze, mais aussi le cuivre doré et, plus tard, l'acier, l'aluminium ou l'alliage "Studal" dont Raymond Subes était un adepte.

Estim. 1 500 - 2 000 EUR

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Plafonnier ; premier tiers du XXe siècle. Verre émaillé et support de cordon. Présente des défauts. Dimensions : 23 x 35 x 35 cm. Plafonnier en verre émaillé. L'abat-jour est soutenu par un support constitué d'un cordon avec un pompon central, d'où partent les ancrages à l'abat-jour. Ce dernier, en verre, a une structure conique, ornée de détails triangulaires qui s'alternent avec la couleur du verre avec une finition rougeâtre. Présente des défauts.

Estim. 300 - 400 EUR